La thérapie musicale diminue de 74% l’anxiété!
Le stress peut entraîner des symptômes comme:
-Des migraines
-Des insomnies
-De l’irritabilité
-Des crises d’angoisse
-des tocs
Ou pire:
-Mener au burn out
20% des employés sont à la limite du burn out
30% sont épuisés à la fin de leur journée de travail
28% sont fatigués le matin en se levant.
Selon une étude de think pour a great place to work.
60% des journées perdues de travail perdues ont pour cause le stress selon l’AESS.
Cela engendre un manque d’efficacité au travail, une difficulté a s’investir, le climat social avec les collègues s’en ressent, une perte d’envies même dans votre vie personnelle.
Les troubles psychosomatiques s’installent, la voix perd de sa qualité, la communication devient difficile…
Grâce à la musicothérapie, le stress s’envole dès les premières séances, ainsi que les migraines, les insomnies, la fatigue, les acouphènes sont soulagés…
Les séances de rééducation déclanchent la sécrétion de sérotonine, d’endorphines et de dopamine qui rendent ainsi compte des effets antidépresseurs et antalgiques de la musique. Les hormones du stress sont régulées.
En vous remettant à l’écoute, l’oreille électronique va redonner au cerveau la recharge corticale nécessaire pour être ouvert au monde. Les personnes en burn out retrouvent leur énergie et leur joie de vivre. Une nouvelle capacité a communiquer sainement s’installe en toute confiance.
Neuro-sciences:
la thérapie par l’écoute de sons filtrés par l’oreille électronique associée à un travail multi-sensoriel (mouvement, équilibre, vision) fait une énorme différence. Cela active la production de dopamine, substance clé de la motivation et de l’attention. Cela sucite naturellement la réaction chimique identique aux médicaments et sans effets secondaires. Les neuroscientifiques Vinod Menon et Daniel Levitin ont découvert en 2005 que cette thérapie active et amplifie la connexion entre les régions cérébrales chargées de la récompense qui gérèrent un sentiment de plaisir. De plus le nerf vague est stimulé, ce qui agit sur le système parasympathique qui régule stress et angoisses.
D’autre specialistes de la neuro plasticité sonore, chercheurs de la northwestern university comme Nina Kraus ont enregistrés à l’aide de capteurs éléctriques (EEG) des résultats stupéfiants: l’activité cérébrale des sujets qui écoutaient une sérénade de Mozart était identique aux ondes sonore de cette sérénade, et le tronc cérébral produisait les même sons!
Pendant notre sommeil le cerveau émet des ondes de 1 à 3 hz, quand on est éveillé et attentif la fréquence des ondes est plus rapide: 12 à 15 hz, si l’on se concentre sur un problème: 15 à 18 hz, et lorsqu’on s’inquiète ou se sent anxieux: 20 hz. Lorsque nous manquons de motivation ou déprimons il semble que le rythme du cerveau soit trop lent, lorsque nous sommes irritables, anxieux, hyperactif, il est trop rapide, voir trop bruyant. Il est possible grâce a un entrainement neuro plastique, de retrouver le bon tempo, le bon niveau sonore. un cerveau hyperactif, trop bruyant, désynchronisé perd des capacité et épuise son propriétaire. La musique resynchronise par résonance ce qui agit sur les neurones et le rend plus efficace.
d’autres études démontrent l’effet anxiolytique de la musique de Mozart:
– http://e-ditionslabelvie.com/le-blog/86-bonheur/142372-anxiolitique-antidepresseur-ou-mozart.html
– Dans une étude réalisée à Montréal sur 24 étudiants, on a montré que la musique permettait de diminuer la réponse au stress : ces 24 étudiants ont été mis en situation de stress, ils devaient préparer un entretien d’embauche en 10 min, ou ils devaient parler pendant 5min. 1 minute avant la fin on leur retirait leurs notes et les examinateurs leurs posaient pleins de questions. Ils étaient en plus filmés. Par la suite, la moitié de ces étudiants allait se reposer au calme, tandis que l’autre moitié allait se reposer en écoutant des morceaux classiques de Mozart. Au bout de 15 min on mesurait le cortisol salivaire : chez les étudiants qui se reposaient au calme, le cortisol salivaire continuait de grimper par rapport au contrôle (avant l’interview) tandis que chez ceux écoutant Mozart, le cortisol salivaire diminuait significativement. Même chez les élèves qui n’appréciaient pas vraiment ce type de musique, cet effet était visible. Est-ce dû à Mozart ou est-ce un effet musical plus général ? On suppose que le fait d’écouter des musiques caractérisées par leur harmonie, leur lenteur de tempo et leur régularité a un effet relaxant, comparé à des musiques dissonantes, comme la techno. On peut aussi supposer que le traitement émotionnel implique plusieurs structures cérébrales interagissant avec l’amygdale pour réduire le stress, c’est une sorte de «circuit de l’apaisement ».
– Le principal effet de cette musique est avant tout d’apaiser les tensions. Elle se caractérise par son tempo souvent alterné lent et rapide, et est très harmonieuse. Une étude a été menée dans une cantine auprès de mille enfants scolarisés entre le CE2 et le CM2. Une équipe a procédé à des mesures du niveau sonore dans le réfectoire et ce sont intéressé au comportement des enfants selon la musique diffusait : pop ou classique. Ils ont alors observé une baisse d’environ 7 % du volume sonore habituel lorsque de la
Musique classique est diffusée et une baisse de 12 % lorsque la musique pop est diffusée. Dès que la musique est arrêtée, le volume sonore augmente aussitôt. Mais la musique classique agit d’autant plus sur le comportement des enfants, en effet le personnel de service a observé une baisse de 55 % des gestes de comportement agressif, d’insultes, d’impolitesse etc…
Mais il existe un autre effet de la musique classique tout aussi intéressant. En effet, elle permettrait de lutter contre l’hypertension artérielle qui touche une grande majorité de la population.
La pression artérielle, correspond à la pression exercée par le sang lorsqu’il est pompé par le cœur, contre les parois des artères. La pression artérielle représente la force qui permet de faire circuler le sang à travers tous les organes. En cas d’hypertension artérielle, lorsque la tension est trop élevée, le cœur doit alors fournir plus d’efforts. L’hypertension artérielle signifie que les chiffres de pression artérielle sont anormalement élevés. La musique classique permet alors de réduire ce phénomène. C’est ce qu’ont prouvés des chercheurs japonais en effectuant une expérience sur des souris de laboratoire, car ce sont des êtres souvent touchés par des maladies cardiovasculaires telles que l’hypertension artérielle. Ils ont alors mesuré le niveau de certaines substances dans une partie du cerveau et ont découvert qu’à l’écoute de la musique de Mozart, la quantité de calcium acheminée vers le cerveau augmentait considérablement. Ainsi la production de dopamine est activée ce qui permet alors d’inhiber l’activité du système nerveux sympathique réduisant ainsi la pression artérielle. Cela signifie que la musique de Mozart qui est ici un stimuli sonore permet une meilleure santé cardiovasculaire et donc une espérance de vie plus longue, sur des êtres qui ne sont pas conditionnés à la musique et qui n’apprécient vraisemblablement pas cela. L’Homme étant lui aussi victime d’hypertension artérielle, Mozart et sa musique sont alors un espoir de lutter contre ce problème plutôt courant.La musique classique a donc la vertu d’apaiser les tensions ce qui peut améliorer à la fois les conditions sociales d’un individu mais aussi ses conditions médicales.
– Les neuroscientifiques Den’etsu Sutoo et Kayo Akiyama, de l’université de Tsukuba au Japon, ont fait écouter l’adagio du Divertissement n° 7 en ré majeur de Mozart à un groupe de souris souffrant d’hypertension. Les chercheurs japonais ont ainsi vérifié que la dopamine produite par l’écoute de la musique inhibe le système nerveux sympathique.
C’est une partie de notre système nerveux autonome qui contrôle de nombreuses fonctions automatiques, telles que la régulation du rythme cardiaque ou de la pression artérielle.
L’inhibition de ce système entraîne la baisse de la tension artérielle.
– en 2007 une étude étudiant l’effet d’une musicothérapie suivie ou précédée d’une période de repos chez 30 patients intubés et non intubés. Ils montrent que dans les phases ou les patients écoutaient de la musique, on notait une réduction significative de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle, de la fréquence respiratoire, du RASS, du BIS et de l’ENA.
La même année paraît dans Critical Care Med une étude très bien menée, ou les auteurs ont réalisé des dosages sériques chez des patients de réanimation écoutant certains mouvements lents des sonates pour piano de Mozart. Ils ont trouvés une réduction significative du taux sérique d’Interleukine 6 (-20%) et d’adrénaline (-50%), ainsi qu’une augmentation significative du taux sérique d’hormone de croissance (+50%). Ils ont également noté une réduction de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle. Ceci confirme l’hypothèse physiologique précédemment évoquée, que la musique a un effet sur le rétrocontrôle des hormones de stress surrénaliennes et sur l’axe hypothalamo-hypophysaire. Elle a même une action immunomodulatrice (réduction du taux sérique d’IL 6). On peut supposer que le choix de la musique y est pour quelque chose : comme on a vu plus haut, une musique lente et régulière est particulièrement efficace dans la régulation du stress.